PHILIPPE SEGUR
Biographie et Portrait-interview de Philippe Ségur sur cette page, après la présentation des derniers livres
2024 APOLOGIE DE L'AMOUR FOUDRE 2022 LA NUIT NOUS SAUVERA LE GANG DES BIBERONS
2018 LE CHIEN ROUGE 240 pages. Publié chez Buchet Chastel 2017 EXTERMINATION DES CLOPORTES Disponible chez votre libraire
Nous
sommes invités dans l'intimité de Betty et Don Dechine, un couple
qui semble se parler encore. Ce
livre au goût ségurien se boit sans difficulté, englouti en un rien de
temps. Dans
la valse légère de dialogues simples à foison, un humour cocasse à très
grinçant Toujours ce personnage empli de dualité qui se confronte avec douleur au quotidien avarié où nous pourrions nous reconnaître, et cette quête d'un retour vital à la simplicité et à la nature, le recours à une écriture salvatrice (viatique ? ). Une arrivée au "Paradis Blanc"... Philippe Ségur n'a pas fini de nous surprendre et, malgré un air désinvolte, de se (nous) questionner. ILS EN PARLENT, ILS ONT APPRECIE : Quelques extraits truculents parmi tant d'autres : "Beth,
j'avais écrit, j'ai une grande nouvelle : nous allons adopter. J'ai un
cloporte dans l'œil depuis ce matin." Soudain
je me suis rendu compte que Betty ne me donnait pas la main, contrairement à
son habitude, A propos
des voisins : Eux aussi nous avaient pris en affection. A propos
d'une citation japonaise : "Comment pourrait-il connaître le monde
celui qui n'a jamais goûté la morsure de son poison brûlant ?" A vrai
dire, ce n'est peut-être pas un Japonais qui a dit ça, mais un Indien. Et il
se peut que la citation ne soit pas tout à fait exacte. Il me semble que,
dans la phrase originale, il ne s'agit pas de poison mais d'un petit sauvignon
sec qu'on boit du côté de Bangalore, et que l'auteur veut parler du Bak-Bak
Bar, Quand Don Dechine affronte un danger, c'est après en avoir préalablement éliminé tous les risques. Don
Dechine est entouré d'un champ de force anti-intrusion grâce auquel ses sept
cents amis A propos
du best-seller à écrire : "J'avais alors envisagé d'écrire un
livre sur ma vie sexuelle. A propos
des mandataires immobiliers : "On nous les avait dépeints comme des
tueurs, Moi, je dis qu'on ne connaît pas vraiment les gens avec lesquels on vit. Je dis que tant que vous n'avez pas réellement ouvert votre frigo, vous n'avez aucune idée de la véritable personnalité de celui ou de celle qui partage votre quotidien. A propos de déménagement : "Si certains se demandent comment les merveilles de l'Antiquité ont pu finir plusieurs mètres sous terre, qu'ils viennent voir chez nous, ça les instruira sur les mystères de l'archéologie." |
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INTERVIEW DE JANVIER 2007
Philippe SEGUR Il
rêvait d'être ERMITE ou
TRAPPEUR, |
© Photo Philippe Ségur-2007 / netcomete
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En réalité, vous écrivez depuis longtemps, et c'est "Métaphysique du chien" qui vous a dévoilé au grand public, est-ce exact ? |
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Oui, si la publication de romans est récente, écrire est une vieille histoire. Ma première nouvelle a été éditée quand j’avais 11 ans dans une revue de la presse enfantine. Mais il y manquait l'expérience, quelques échardes, trois mois de conflit avec un fournisseur d'accès internet, sept ordinateurs et 65 bugs électroniques, bref ces menues vicissitudes qui vous donnent de la profondeur et du détachement ! Avant
la parution de mon premier
roman, j’avais déjà
beaucoup publié dans le
cadre de mon activité
universitaire :
articles de recherche et
essais comme
Le
pouvoir et le temps
en
1996,
La
crise du droit d’asile
en 1998 ou
La
Vème République
en
1999. En 2002,
Métaphysique du chien
m’a permis de me faire connaître en tant
que romancier grâce au prix
Renaudot des lycéens et à
Michel Tournier qui a défendu
mon livre sur le plateau de
Franz-Olivier Giesbert sur
France 3. D’autres titres ont suivi de façon régulière (Autoportrait à l'ouvre-boîte en 2003 ; Poétique de l'égorgeur en 2004 ; Seulement l'amour en 2006). Cette année, paraissent Ecrivain (en 10 leçons) et un recueil de poèmes, Messal, chez n&b éditions. |
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A propos de « Journal d’un chercheur de vérité » (Editions l'Harmattan), vous évoquez un homme qui ne parvient pas à croire qu'il existe. C’est réellement votre cas ? |
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Journal d’un chercheur de vérité, paru en 1999, n’était pas un roman, mais un essai philosophique écrit sous une forme littéraire. Pour répondre à votre question, non, je ne parviens toujours pas à croire que j’existe. Parce que le fait de croire implique une mise à distance de l’objet de sa croyance, ici une représentation de soi. Pour se représenter soi-même – et nous le faisons tous – il faut un double de soi, ne serait-ce que l’image dont nous avons l’habitude chaque matin quand nous nous regardons dans le miroir. Et ne me dites pas : mais dans le miroir, ce n’est pas un double, c’est moi ! Parce qu’avec un peu d’attention, vous vous rendez bien compte que l’image que vous avez de vous-même n’est pas celle que les autres ont de vous. Et qui vous dit que vous détenez la bonne, à supposer qu’il y en ait une ? Par conséquent, votre représentation de vous est un duplicata que vous vous êtes forgé. C’est ainsi que se construit, de manière subjective, l’identité. Or, j’admets très volontiers que ces questions s’étant posées à moi depuis l’enfance, j’ai eu et j’ai encore de sérieux problèmes avec mon identité. J’entretiens, disons, une relation d’étrangeté avec moi-même. |
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Vous
y évoquez également la rencontre avec un maître... Arsène Wenger a dit (cf. page
netcomete): « Toutes
les grandes réussites,
toutes les grandes vies ont
été à la fois la coïncidence
d'une aptitude, d'un talent
mais aussi d'une chance de
rencontrer des gens
qui ont cru en toi. Il faut
que tu rencontres à un
moment de ta vie quelqu'un
qui te tape sur l'épaule et
te dise :"Moi je crois
en toi!" ».
Vous avez eu cette chance ? |
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Oui. Cet homme s’appelle Arnaud Desjardins. Je l’ai rencontré assez jeune, dans un moment de très grande angoisse existentielle et de grande incertitude quant à mon devenir. Il est le premier, à la lecture de mes textes, à avoir cru littérairement en moi et a m’avoir dit avec force que j’avais quelque chose à accomplir. Cela va au-delà du simple parcours artistique ou professionnel. Je n’hésite pas à dire qu’il m’a sauvé la vie et que ce que je lui dois est au-delà de ce que je pourrai jamais lui rendre. |
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L’édition :
un parcours du combattant ? |
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C’est le moins qu’on puisse dire ! Pour mon premier roman, il m’a fallu deux ans de recherche et dix-sept refus avant de me faire éditer. Il est vrai que je ne connaissais personne et que j’envoyais mon manuscrit par la poste (moins de 1% des ouvrages publiés sont proposés de cette manière…) Et c’est là qu’a eu lieu la deuxième rencontre décisive, celle de Pascale Gautier, directrice littéraire chez Buchet-Chastel, qui s’est intéressée au manuscrit de cet inconnu tombé dans sa boîte aux lettres… |
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Comment
avez-vous vécu les Prix, le
début du succès. Les réimpressions
qui s’ensuivent… Combien
d’ouvrages avez-vous
vendus (toutes
publications confondues)? |
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J’ai vécu tout cela avec étonnement, curiosité et gratitude. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne sais pas exactement combien de livres ont été vendus, surtout si l’on cumule toutes les publications. Cela s’étale dans le temps, il y a les sorties en poche, les traductions, etc. Je n’en ai qu’une vision fractionnée au moment du bilan annuel et je ne me suis jamais amusé à tout additionner. Si j’essaie d’estimer très approximativement, pour Métaphysique du chien, par exemple, je me dis qu’on doit approcher les 20 000. Mais je ne garantis pas le chiffre. |
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Après la sortie d’un livre… l’appréhension ? La peur des critiques ? |
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Pas d’appréhension, parce que quand un de mes livres sort, je suis déjà ailleurs, dans l’écriture d’un autre texte et que celui-ci m’absorbe totalement. Mais cela ne veut pas dire que je suis insensible aux critiques. Au contraire, j’y suis assez vulnérable en raison du problème d’identité évoqué tout à l’heure. |
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Vos rapports aux médias (Ecrits, radio, TV…). Comment percevez-vous les séances de dédicace ? |
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Mes relations avec les médias sont bonnes, je crois. Il est vrai que j’ai eu la chance d’être bien accueilli par la critique et d’avoir été très souvent compris dans ma démarche. Je n’ai donc pas lieu de me plaindre. Quant aux séances de dédicace, cela fait partie du travail d’un auteur aujourd’hui. Les premières fois, c’est à coup sûr une petite satisfaction d’orgueil, puis seulement une part de l’activité, au sens professionnel de l’entreprise, quelque chose que l’on doit au lecteur, aussi simplement que possible… |
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La
période des corrections…
Puis enfin l’édition…
Comment vivez-vous la fin
d’un roman ? Y a-t-il
une période de décompression ? |
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L’achèvement d’un roman est un moment difficile. Non pas pour le conclure, car je sais généralement en commençant où je vais arriver. Mais pour abandonner le texte. Il y a une forme d’angoisse qui est très certainement une angoisse du vide : l’abandon d’un univers qui a servi de point d’appui et de réponse provisoire à un certain nombre de questions. C’est pourquoi je réduis au minimum la période de battement qui me sépare du projet suivant. Et c’est pourquoi j’ai un peu d’avance… |
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Rythme de vos publications : un roman par an… avec toujours au moins un manuscrit en avance au fond des tiroirs ? Vous êtes l’Amélie Nothomb, version masculine ? avec une part d’autobiographie, de rêves et de traumatismes mêlés à une sauce aigre-douce de votre invention ? |
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Oui, j’ai un peu d’avance dans ma production. Je n’en tire d’ailleurs aucune fierté. Il s’agit juste d’une addiction comme une autre. Pour certains, c’est le tabac. Pour d’autres, la télé, l’alcool ou la drogue. Moi, c’est l’écriture. La meilleure solution que j’ai trouvée pour m’adapter au monde et me colleter avec ce fameux problème d’identité. Par conséquent, le jour où j’arrêterai d’écrire, c’est que je serai guéri. |
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D’où
vous vient ce don de
l’humour cinglant et
l’aptitude au cynisme ?
Vous l’utilisez pour mieux
respirer ? |
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Cela vient des auteurs que j’ai fréquentés depuis mon plus jeune âge et qui m’ont paru proposer la seule philosophie pratique acceptable : l’humour comme riposte à l’absurdité de l’existence. Woody Allen, Fante, Hamsun, par exemple, en font partie. |
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La
dualité présente dans tous
vos écrits… Votre vision
du monde est-elle
toujours empreinte de cette
dualité ? |
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Toute vision du monde, tout discours, toute perspective, toute pensée, est porteuse de dualité. À l’image du diable dont la plus grande ruse est de nous faire croire qu’il n’existe pas, l’esprit secrète l’illusion qu’il est le siège de l’unité du moi alors qu’il est, par nature, le facteur de division d’avec toute chose existante, y compris soi-même. Il y a plus d’exactitude qu’il n’y paraît dans cette analogie, puisque le mot « diable » vient du grec diabolein qui signifie « diviser ». Pour qu’il n’y ait plus de dualité, il faudrait cesser de penser le monde et de se penser soi-même à tout instant dans le monde. Je ne crois pas que ce soit à la portée du premier venu… |
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Les traductions… Quand on note que tel ou tel livre est traduit dans telle ou telle langue, c’est un bonus sur la carte de visite, la preuve d’une réussite… Qui vous a proposé d’en faire des traductions ? Avez-vous reçu des critiques de personnes étrangères par rapport à vos écrits ? |
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La cession des droits à l’étranger fait partie du travail de l’éditeur et il y a chez Buchet-Chastel quelqu’un qui s’occupe exclusivement de ces questions. Je n’ai donc pas été directement contacté par des éditeurs étrangers même s’il y a eu ensuite des contacts personnels avec les traducteurs. Il y a eu des articles dans la presse étrangère, bien sûr, à la parution des titres traduits, notamment en Allemagne et en Espagne, mais je n’en ai pas pris connaissance. |
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Quel
public
souhaitez-vous
toucher ? Quel public
touchez-vous ? |
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Je ne me suis jamais posé la première question. À vrai dire, je ne sais même pas si elle est possible. Le public, cela n’existe pas : il y a des lecteurs que l’on rencontre à telle ou telle occasion. C’est à peu près tout ce que je puis en dire. Quant à savoir qui ils sont, sociologiquement parlant, je suis bien incapable de généraliser, c’est-à-dire de les saisir en tant que groupes : j’en vois de très jeunes, de moins jeunes, de beaucoup moins jeunes, des femmes, des hommes, des chiens, des chats. Même la catégorie de « lecteurs de Philippe Ségur » me paraît abusive pour tenter de les cerner. |
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Recherche de l’inspiration… |
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Je ne cherche jamais l’inspiration, parce que, comme je vous l’ai dit, je n’aborde pas de sujet qui me soit extérieur. Je ne tire que sur des fils qui se trouvent déjà là. |
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Vous arrive-t-il d’allumer la lumière la nuit et d’écrire sur une feuille les idées qui vous passent par l’esprit ? |
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Oui. Et comme je suis naturellement insomniaque, cela me fait une raison supplémentaire de me lever dans un état second au petit, très petit matin. C’est à ce moment-là que je me mets à écrire. |
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Votre
inconscient vous
octroie-t-il encore des rêves
nocturnes ou vos écrits
suffisent-ils ? |
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Mon inconscient est mon meilleur ami. Notre collaboration artistique est des plus fructueuses et compte tenu de notre relation de confiance, il me donne à peu près tout ce que je veux : rêves, clefs narratives, dialogues jaillis d’un trait et scènes entières comme des visions. |
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Vous avez déjà rêvé de Yagudin ou d’avoir mangé votre chien ? (cf. Poétique de l'égorgeur et Métaphysique du Chien) |
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Rêvé ? Pourquoi rêvé ? Puisque je vous dis que je parle d’expérience... |
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Votre cursus scolaire, vos jobs... avant l'enseignement |
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L’école
n’a été pour moi qu’un
long couloir d’ennui.
L’autorité et les
lectures imposées m’ont
toujours été difficilement
supportables. Il n’y a
rien de très passionnant à
dire. J’ai interrompu mes
études après le bac. Avant
de m’inscrire à
l’université, j’ai
été veilleur de nuit,
employé de presse, ouvrier
agricole, vendeur,
illustrateur, etc. De très
bonnes expériences qui
m’ont permis de ne pas
être un pur produit du
système éducatif. |
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Comment êtes-vous « tombé » dans l’enseignement, comment êtes-vous devenu professeur de faculté en Droit Constitutionnel ? Des propos d'étudiants laissent paraître que êtes un excellent pédagogue qui offre son savoir avec générosité... Le rapport entre vous et Nid (le professeur de Poétique de l'Egorgeur)... Votre départ... |
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J’ai
d’abord eu une attirance
pour la recherche
universitaire, c’est-à-dire
pour une autre forme d’écriture
et de réflexion.
L’enseignement n’est
venu qu’ensuite. Je ne me
suis pas fait trop mal dans
ma chute ! Je suis flatté
de cette appréciation émanant
d’un étudiant. Je me suis
toujours efforcé de donner
le meilleur de moi-même
dans mes cours, même s’il
me semble que
l’enseignement magistral
devant des amphithéâtres
de trois cents personnes est
aujourd’hui périmé. Poétique
de l’égorgeur présente
un point de vue sur le système
universitaire, que
j’assume en partie, mais
qui ne recouvre pas la
totalité de mon expérience.
Je ne partage pas la paranoïa
de Nid avec ses étudiants
et n’ai jamais eu
personnellement de difficultés
avec eux. Ceux d’entre eux
qui ont lu le livre ne s’y
sont d’ailleurs pas trompés.
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Tac au tac en vrac ! |
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S’il
n’y avait pas eu le déclic
de l’écriture…
Auriez-vous été choisi par
la Peinture, la Musique,
le Sport ?
Pourquoi ce
conditionnel restrictif ?
Vous voulez dire que je ne
peux plus espérer devenir
star du rock ? Votre
position par rapport à la
Gastronomie.
Pratiquant,
mais non croyant. Vous
avez une activité physique ?
Oui, quand je
lis, je transpire ! Votre
rapport avec la Nature… Un rapport d’excellent voisinage. Vos auteurs contemporains préférés. Pascal Quignard, Karine Tuil, Clément Rosset, Woody Allen, Jean-Luc Aribaud... Les
vacances pour vous… Une appréhension,
un ennui ?
Quelles
vacances ?
Le
bonheur c’est quoi pour
vous ? Mourir heureux, comme disait Antisthène. Votre
côté féminin. Je parle tout le temps et à tout le monde de mes grossesses. Vous faites une collection de ? De mes "moi" successifs. Quelles
valeurs voulez-vous
inculquer à vos
enfants ? La première de toutes : la fidélité à soi-même, autre formule pour liberté et indépendance d’esprit ; de plus en plus difficile à défendre par les temps qui courent... |
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Vous
dites de Woody Allen
qu’il est un |
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Une image à laquelle j’aimerais bien correspondre, en effet. Pour la première partie de la formule, je crois qu’à mon âge, c’est gagné. Mais c’est la légèreté qui est difficile à acquérir et à garder! |
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Ce que représente l'Ecriture pour vous (voir les détails de la question ICI) |
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Ecrire, c’est un peu tout cela à la fois, mais selon les moments où la question est posée, c’est un aspect ou l’autre qui domine, ce qui explique la variété d’approches. Le plus important sans doute, c’est la nécessité personnelle : je n’écris que sur ce que je connais ou, du moins, sur des questions qui ont pour moi un retentissement vital à un moment donné. Cela n’interdit pas de le faire d’une manière fictionnelle et d’user de toutes les ressources de la fiction pour une exploration de soi qui est totale : physique, émotionnelle, mentale. Mais il ne me viendrait pas à l’esprit de travailler sur des sujets absolument extérieurs à ce que j’éprouve ou pense. Je crois, d’ailleurs, que j’en serais incapable faute de motivation, d’enthousiasme et d’ardeur. |
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Le roman et le recueil de poèmes qui sortent en 2007... |
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Ecrivain (en 10 leçons) est un texte écrit par pure gratitude à l’égard de tout ce qui m’est arrivé avec la publication de mon premier roman. C’est le récit d’une joyeuse défloration littéraire, la somme de toutes les premières fois en matière éditoriale… Quant à mon recueil de poèmes,
Messal, qui va paraître en même temps, il s’inscrit dans un
registre très différent,
non seulement dans la forme,
mais aussi sur le fond. Il
traduit un aspect important
de ma vie qui ne transparaît
pas dans mes romans :
la recherche d’une
communion avec la Nature.
Ces poèmes ont tous été
écrits dans la Nature et
rendent compte d’expériences
méditatives et
contemplatives souvent très
intenses.
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© (texte, photos, mise en page) Lisa Messmer netcomete.com / Philippe Ségur |
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Extraits de
romans de Philippe Ségur… Difficile
de faire un choix, Lire Philippe Ségur, c'est l'adopter ! |
Critique
du Figaro, 23 janvier 2007 : ici
Critique du Parisien, 8 février 2007 : ici
Critique TV5monde : ici
EXTRAIT
dans le FIGARO, 16 août 2008 : ici
EXTRAIT dans le magazine LIRE,
été 2008: ici
COMMENTAIRE dans le magazine LIRE,
septembre 2008: ici
COMMENTAIRE dans le magazine
EXPRESS, septembre 2008: ici
COMMENTAIRE
dans le magazine LE POINT, septembre 2008: ici
COMMENTAIRE
à FRANCE INFO,
septembre 2008: ECOUTER
ici
Un des 4
invités de la première émission
"La grande librairie" sur FRANCE
5, septembre 2008: VIDEO
ici
Autre
article (Parutions.com)
Autre
article (Eparsa
Magazine)
Première
sélection des jurés du Prix Renaudot
(article journal LE MONDE : ici)
Tous
les ouvrages de Philippe SEGUR (et ceux d'A-W ROSTO)
|
Merci à Philippe Ségur pour la grande amabilité et la disponibilité dont il a fait preuve
© (texte, photos, mise en page) Elisabeth Messmer netcomete.com / Philippe Ségur
© Netcomete.com / Interview janvier 2007 / Mise à jour des publications et nouveaux liens : 2008-2011-2012-2014-2016-2018-2024